Originale | Controproposta | Motivo o commento |
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Tabelle 1: Das noch verbleibende CO2-Budget gemäss IPCC AR6 und der überarbeiteten wissenschaftlichen Schätzung aus dem Jahr 2024 für verschiedene statistische Wahrscheinlichkeiten, das 1.5°C-Limit einhalten zu können |
Merci de faire une infographie plus parlante. | |
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Tabelle 2: Das CO2-Budget der Schweiz, ermittelt für vier mögliche Arbeitsteilungsansätze gemäss Berechnungen von Konstantin Weber und Cyrill Brunner der ETH Zürich. Lesebeispiel: Wird das globale CO2-Budget nach dem Arbeitsteilungsansatz «Fähigkeit mit gleichem Pro-Kopf-Recht ab 2016» aufgeteilt, so betrug im Jahr 2016 das Budget für die Schweiz noch 61 Millionen Tonnen CO2 für eine 50-prozentige Wahrscheinlichkeit, das 1.5°C-Limit einzuhalten. |
(proposition annulée) | |
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Tabelle 3: Berechnungen der Klima-Allianz zum ab dem 1.1.2023 noch verbleibenden CO2-Budget der Schweiz je nach Arbeitsteilungsansatz mit dem Jahr der Budgetübernutzung bei bestehender Klimapolitik der Schweiz. Lesebeispiel: Gemäss Budgetaufteilung nach dem Arbeitsteilungsansatz «Fähigkeit mit gleichen Pro-Kopf-Recht ab 2016» standen der Schweiz 2016 noch 61 Millionen Tonnen CO2 zur Verfügung bei einer 50-prozentigen Wahrscheinlichkeit, das 1.5°C-Limit zu erreichen. Werden die historischen CO2-Emissionen abgezogen, resultiert daraus ein negatives Budget von 188 Millionen Tonnen CO2. Konkret heisst das: Die Schweiz übernutzt das noch verbleibende CO2-Budget seit 2017. |
Je propose de ne pas monter les données pour 1990. Ca trouble l'esprit. Ces données sont alamantes !!! Le commentaire devrait être plus émotionnel. | |
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Abbildung 1 bietet einen Überblick zu den Sektoren und Klimahebeln der Schweiz sowie zu den verantworteten Emissionsmengen: Gebäude, Industrie/Abfall, Landverkehr, Luftfahrt, Landwirtschaft, Schweizer Firmen im Ausland, Schweizer Finanzplatz, Graue Treibhausgasemissionen – überall hier kann die Schweiz eingreifen. In Teil II des Klima-Masterplans 2024 finden sich für jeden Sektor und jeden Klimahebel entsprechende Politikmassnahmen. |
Ma remarque sera longue, et peut être pas très claire. Elle concerne tout le diagnostique. Xcuses si ce n'est pas intelligible. Cette figure nous ne parle pas, en tant qu 'individu. Il serait intéressant de montre les émissions en fonction de la couche socio-économique (j'ignore si de telles données sont disponibles) dugenre (je caricature) - Sans domicile fixe: objectif largement atteint. Le monde supporterait des milliards d'être humains dans ces conditions. Or un vie digne n'est pas possible. - Salariés au salaire minimum ou légèrement en dessus (classe moyenne inférieure): la marge de manœuvre est extrêmement petite: Chauffage mal réglable dans les appartements, les produits les meilleurs marché dans le supermarché sont de qualité climatique (et sociale)médiocre, la voiture est souvent nécessaire pour le travail ou parce qu'on habite loin des agglomérations car le loyer est meilleur marché, sans jardin une grillade à la campagne est justifiée, les vacances les meilleurs marchés sont souvent par avion et la publicité ne propose pas bcp d'alternatives. Les émissions de ce groupe sont probablement bien supérieur à ce qui est tolérable, mais difficile d'améliorer. - Salariés supérieurs: Ici il y a plus de possibilités: habiter un appartement est plus écologique qu'une maison familiale, une résidence secondaires est clairement du gaspillage, vols intercontinentales pour les vacances également. Les "écogestes" de ce groupe sert plutôt à avoir la conscience tranquille. - les riches: ce sont les pires gaspilleurs. grâce à l'arrogance des riches, on n'ose pas les influencer. (j'ignore quel est leur pat des émissions, mais ca doit être important). - Le commerce et l'industrie: (leur propre consommation, sans les émission à l'étranger). Ici le gaspillage est la règle. Voyage d'affaires luxueux et fréquents. (dans la business class). Frais et effort de publicité et de promotion de vente énorme (les personnes les +riches de ce monde ont fait leur fortune par la publicité). - les émissions à l'étranger: Ici il faut faire une remarque quant au double comptage. Si les pays étrangers font leur bilan CO2 correctement, ces émissions devrait être comptabilisé chez eux aussi. Je ne sais pas si on peut dessiner un graphique selon les classes esquissés ci-dessus. Si ce n'est pas possible, il faut au moins dénoncer que de tels chiffres n'existent pas. | |
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Wie die Herleitung von gerechten CO2-Budgets in Teil I des Klima-Masterplans zeigt, ist bei den für die Schweiz vorteilhaften Arbeitsteilungsansätzen eine Netto-Null-Emission bis 2035 nötig. Wird zusätzlich berücksichtigt, dass die Schweiz einerseits durch ihren Konsum im Ausland hohe Emissionen verursacht und andererseits über hohe wirtschaftliche und technische Kapazität verfügt, um den Klimaschutz zu verstärken, müssten schon heute die CO2-Emissionen in der Schweiz auf netto-null oder gar negativ sein. Deshalb zielen die in Teil II des Klima-Masterplans vorgeschlagenen Politikmassnahmen auf eine rasche Dekarbonisierung ab. Die Herausforderung wird grösser, je länger wirkungsvolle Massnahmen aufgeschoben werden. Die Klima-Allianz zeigt mit diesem Plan auf, wie die Schweiz innert zehn Jahren ihre eigene Transformation schaffen und die grössten zusätzlichen Klimahebel für die weltweite Transformation nutzen kann. |
La Partie I du présent Masterplan a montré quels sont les calculs qui mènent à des budgets CO2 équitables ; il en ressort que les approches qui sont “avantageuses” pour la Suisse impliquent que l’objectif zéro émission nette soit atteint d'ici 2035. Mais si, en plus, on tient compte du fait qu’en raison de sa consommation, la Suisse génère des émissions élevées à l'étranger, mais qu’elle dispose également d'une grande capacité économique et technique pour renforcer la protection du climat, les émissions de CO2 devraient en fait être nulles, voire négatives dès aujourd’hui. C'est pourquoi les mesures politiques proposées ci-après visent une décarbonisation rapide, car le défi s’accroît à mesure que l’adoption de mesures efficaces est retardée. Avec ce plan, l'Alliance Climatique entend montrer comment la Suisse peut réussir sa propre transformation en l'espace de dix ans et comment elle peut user des leviers climatiques supplémentaires les plus efficaces pour la transformation à l’échelle mondiale. | Je propose d'étudier une subdivision différent (selon ma remrque pour la figure 1) Mesures destinés - aux pauvres, - à la classe moyenne inférieure, - à la classe moyenne supérieure, - aux riches, - au commerce, - à l'industrie, - aux pouvoirs publics. Ca demande une reflexion que je n'ai jamais faite, mais ça pourrait être plus parlant pour le lecteur ou la lectrice. |
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Dabei gibt es limitierende Faktoren: Den allgemein hohen Konsum, die beschränkte Zahl an Fachkräften, die nicht beliebig schnell verfügbaren Materialien und Geräte/Fahrzeuge, den enormen Bestand an Heizungen und Fahrzeugen, die aktuell fossil betrieben werden und teilweise vorzeitig ersetzt werden müssen, die mobilisierbaren Investitionsmittel sowie das wohl knappste Gut: der individuelle und gesellschaftliche Wille, die Transformation rasch umzusetzen. |
ce paragraphe n'est pas pertinent pour décrire le problème. On a assez de professionnels / spécialistes, mais on ne les écoute pas. Il n'y a pas manque de matériaux ou d'appareil / véhicules. Au contraire, il y en a trop. Les véhicules ne devraient pas être remplacés prématurément. On peut les utiliser parcimonieusement jusqu'à la fin de leur vie. Pour les chauffages c'est différent, il faudrait les remplacer dès que c'est possible. D'accord pour les moyens d'investissement . Il est trop difficile de les mobiliser. Le manque de volonté de la part de la politique se tradut pour l'individu trop souvent en l'impossibilité d'attaquer la transformation. | |
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Rein technologische Lösungen wie die CO2-Entfernung aber auch die Abscheidung und Lagerung von CO2 aus Punktquellen wie Kehrichtverbrennungsanlagen und Zementwerken sind aus Sicht der Klima-Allianz Teil des mittlerweile nötigen Lösungsportfolios, weil wir leider seit 1990 den Klimaschutz vernachlässigt und die Emissionen nicht wie notwendig gesenkt haben. Die CO2-Emissionen sind um 70% gestiegen. Es ist aber klar, dass echte Emissionsverminderungsmassnahmen an der Quelle die Top-Priorität der Klima-Allianz bleiben. Diese sind weltweit und auch in der Schweiz viel einfacher umzusetzen, wenn ja, die einen übermässig hohen CO2-Fussabdruck haben, gleichzeitig ihren Konsum auf realistische Dimensionen anpassen . Denn das hohe Konsumniveau z.B. der Schweiz sprengt nicht nur beim Klima die planetaren Grenzen; technologische Klimaschutzlösungen wie z.B. Elektroautos tragen durch den Rohmaterialverbrauch dazu bei, dass weitere planetare Grenzen gesprengt werden. |
Du point de vue de l'Alliance Climatique, les solutions purement technologiques, comme l'élimination mais aussi le captage et le stockage du CO2 provenant de sources telles que les usines d’incinération des déchets et les cimenteries, font partie du portefeuille de solutions désormais indispensables, puisque nous avons malheureusement négligé la protection du climat depuis 1990 et n'avons pas réduit les émissions comme nous aurions dû le faire ; les émissions de CO2 ont augmenté de 70%. Cependant, comme il est évident que les mesures de réduction de CO2 véritablement efficaces sont celles qui agissent à la source, ce sont bien elles qui restent la priorité absolue de l'Alliance Climatique. Celles-ci sont beaucoup plus faciles à mettre en œuvre dans le monde entier, y compris en Suisse, si ceux qui ont une empreinte carbone excessivement élevée adaptent en même temps leur consommation à des dimensions réalistes (sobriété). En effet, le niveau de consommation élevé de la Suisse, par exemple, ne fait pas seulement exploser les limites planétaires en matière de CO2 ; les “solutions technologiques” qui visent à diminuer notre impact climatique, comme les voitures électriques, contribuent à faire sauter d'autres limites planétaires en raison de la consommation de matières premières. | Inverser ce paragraphe: d'abord la sobriété et ensuite les mesures de captage. Dire que avec des mesures de sobriété seules ou avec des mesures d'efficacité énergétiques, on n’arrivera jamais à une émission zéro. Il faut les compléter avec des mesures de captage. |
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Eine sektorübergreifende Abgabe auf alle Treibhausgase in Höhe der Klimaschadenskosten verhindert, dass das marktwirtschaftliche System die Klimakrise zusätzlich direkt befeuert. |
Les émissions de GES ne peuvent pas être maitrisés avec une taxe CO2. Pour être efficace, celle-ci devrait être extrêmement élevée, ce qui poserait de problèmes à de larges couches de la population. On créerait ainsi un population d'assistés, qui ne chagraient même pas trop leur habitude de consommation. Il faudrait envisager plutôt un rationnement. Au moins pour l'essence, les vols et - les gigabytes consommés. | |
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In der Öffentlichkeit sichtbare Werbung soll nur noch für Produkte und Dienstleistungen erlaubt sein, welche überdurchschnittlich klimafreundlich, sogenannt “best in service” sind, also deutlich weniger Emissionen ausstossen als der Marktdurchschnitt von Produkten und Dienstleistungen, die den gleichen Nutzwert bieten. |
Pourquoi ne pas transformer la "publicité" par une "information" donnée par la fédéreation des consommateurs et -trices? La fédération travaillera sur mandat de la confédération et sera dotée des moyens suffisantes pour assumer cette tâche. | |
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Statt Brutstätte virtueller Kryptowährungen zu spielen, soll die Schweizerische Nationalbank SNB (allenfalls zusammen mit anderen Nationalbanken zusammen) eine neue Klimaschutz-Währung rückversichern oder die Privatbanken dazu verpflichten, einen Teil des aufgenommenen Geldes in Klimaschutz zu investieren. So können Klimafinanzierungsgelder generiert werden. Alternativ können auch private Klimaschutz-Währungen unterstützt werden, indem die Nationalbank diese als Parallelwährung stabilisiert. Werden diese vom Markt aufgenommen, können ohne Belastung des Staatsbudgets grosse Summern für den Klimaschutz investiert werden. |
Au lieu d’héberger des crypto-monnaies virtuelles, la Banque nationale suisse (BNS), éventuellement en commun avec d'autres banques nationales, doit réassurer une nouvelle monnaie de protection climatique ou encore obliger les banques privées à investir une partie de l'argent emprunté dans la protection climatique. Il est ainsi possible de générer des fonds de financement climatique. Une autre possibilité est de soutenir les monnaies de protection du climat privées , la Banque nationale les stabilisant en tant que monnaie parallèle. Si ces monnaies sont acceptées par le marché, d’importantes sommes d’argent peuvent être investies dans la protection du climat sans grever le budget de l'État. | Çà me semble extrêmement compliqué. Pourquoi une monnaie parallèle pour le climat? La monnaie ordinaire devrait assumer ce rôle. Le fonds pour des mesures de protection du climat doivent grever le budget de l'état. C'est même une toute grande partie de ce budget, qu'on ne peut pas couvrir par des "bricoles" comme une monnaie parallèle. Si le budget n'est pas suffisant il faut instaurer un impôt progressif sur le climat. |
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Analog zu den Kantonen Basel-Stadt und Zürich muss der Einbau neuer Gas- oder Ölkessel im Grundsatz ausgeschlossen werden, was auch auf Bundesebene mit einem Emissionsstandard technologieneutral gemacht werden kann. |
Comme dans les cantons de Genève, de Bâle-Ville et de Zurich, l'installation de nouvelles chaudières à gaz ou à mazout doit en principe être exclue également au niveau fédéral. |